Archive juin 2020

Avec la pandémie covid-19, le rythme de mise à jour de ce site est passé d'une édition mensuelle à une parution quotidienne.
Plus de 500 articles et photos ont été publiés en deux mois.
Nous allons réfléchir à l'archivage de ces contenus qui pour l'instant restent dans l'ordre chronologique et sont disponibles sous les onglets "Confinement #...".


Retour à l'anormal...

Depuis le 2 juin, nous sommes entrés dans la "phase 2 du déconfinement".
Quel plaisir de pouvoir quitter notre département ou dépasser la fatidique limite de 100 km...
Quelle joie de pouvoir s'attabler à une terrasse de bar ou de dîner au restaurant... sans oublier de remettre son masque si on se déplace dans l'établissement !
Félicité inouïe de se réunir entre amis... mais sans s'approcher à moins d'un mètre.
C'est fou quand on y pense !
On revient de loin... mais on est encore loin de notre vie d'avant.
Et quelle doit être notre vie d'après ???
Se serrer la main ou se faire la bise semblent des gestes qui reviendront dans un avenir qui semble lointain. La prochaine étape semble prévue le 22 juin avec l'annonce par le gouvernement des nouvelles mesures sanitaires en espérant que la pandémie continuera de régresser.
Témoignons !
L'histoire n'est pas encore terminée mais nous ne sommes pas prêts d'oublier ces derniers mois. Comment avez-vous vécu le confinement, la peur de la maladie, la présence permanente du conjoint et des enfants, comment s'est passé le télétravail, l'école à distance, la vie quotidienne, les différentes interdictions, le discours des autorités, etc.. Peut être avez vous continué à travailler pendant cette période... Dans quelles conditions ?
Nous réfléchissons à un questionnaire qui facilitera le collectage de ces témoignages et sentiments avant que nos souvenirs précis ne s'estompent.
Destination vacances 2020 ?
Pour ce qui concerne les animations proposées par notre association, nous allons éditer prochainement le programme de "Destination Vacances 2020".
Il nous semble important de maintenir ce rendez-vous annuel à la fois culturel et touristique  qui tiendra évidemment compte des restrictions connues actuellement.
Campagne d'adhésion
La diffusion de notre bulletin n°73 est terminée. Nous avons fait déjà plus de cent adhésions et nombreux sont ceux qui, parmi vous, ont versé une cotisation de soutien. Merci !
Comme la distribution s'est faite "sans contact", covid-19 oblige, les cotisations nous ont été transmises dans un deuxième temps. Si vous avez oublié - ce qui est compréhensible - merci de  faire parvenir votre bulletin d'adhésion et le règlement à Janine Derain assez rapidement. Cela simplifiera le travail de notre trésorière.

Belle trouvaille !

 

Dans un de ses ouvrages, l'archéologue et érudit bourguignon Louis Armand-Calliat (Lyon, 1896 - Givry, 1966), conservateur du Musée de Chalon-sur-Saône et président de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon, évoque Culles-les-Roches et mentionne une étude de Francis Gabut qui serait conservée chez la famille Portrat.

Alors nous sommes partis à la recherche de ce document inédit. Yves Portrat a pu le retrouver dans les archives familiales et, nous l'en remercions, il a accepté de nous le prêter.

 

Le document est maintenant scanné et nous avons pris contact avec le Musée Denon pour le leur présenter et avoir une lecture critique. Plus d'un siècle après la rédaction de l'étude, il sera intéressant de confronter les thèses de l'auteur aux connaissances actuelles.

 

 

Bernard Veaux avait connaissance d'un certain nombre d'éléments car il semble que des extraits figuraient dans un bulletin paroissial édité dans les années 20. Les recherches continuent !

 

La brochure manuscrite (photo) est accompagnée d'une copie réalisée par Claude Portrat. Elle aussi manuscrite et très lisible, a l'avantage d'être complète alors que les deux premières pages de l'original ont été mangées en grande partie par une souris. 

 

C'est ce texte que nous publions ci-dessous en attendant une étude plus approfondie.

 

 

Archéologie primitive et Gallo-Romaine

Etude réalisé de 1895 à 1899 par Francis Gabut (officier d’académie)

 

Le territoire du village de Culles, canton de Buxy (Saône-et-Loire) est particulièrement intéressant à étudier au point de vue de l'âge primitif et mégalithique.

 Partie I

 

Le village en entier, y compris même le haut-quartier de Courbanains est établi sur la roche cristalline.

Dans une bande très étroite et triangulaire de terrain, entre deux chemins montant vers l'église, on voit plusieurs cornes de roche (gneiss). Sur celle du centre existe une cuvette de petite dimension et assez frustre. A l'est de cette cuvette on voit deux cupules. Au bas se trouve un siège, ou fauteuil naturel, dominant comme toujours un beau paysage. Sur le côté gauche du fauteuil existe une fort jolie cuvette. A l'est de cette cuvette se trouve une autre cupule. Sur une corne infra, et au sud-est de la précédente, existent deux rainures faites de main d’homme. L'une sur le sommet de la corne déverse au sud-est dans une jolie petite cuvette. Au culmen, au sommet de cette rainure, une cupule visant le zénith. L'autre rainure, au nord-est de la précédente dévale d’une fine cupule déversant aussi sur le flanc sud-est de la corne.

Un peu plus haut, le long du chemin qui raccourci le trajet à l'église, à droite sur une roche plate, on voit aussi deux cupules peu distantes l'une de l'autre alignées de l'ouest à l'est. Au-dessus de cette roche plate, après avoir franchi le lacet qui monte à l'église, à droite sur une roche également plate mais peu saillante, se trouve un rudiment de cuvette peu profonde dont les parois ont été usée par la circulation de l’homme et de son bétail. Il nous parait certain qu’à la surface du gros bloc fixe sur lequel est érigé une grande croix en pierre, vers la pointe du lacet direct par le chemin montant à l’église, devait exister des ouvrages similaires, cuvettes et cupules, dont nous venons de parler.

Ces autels mégalithiques formaient un petit temple en plein air où sacrifiaient nos primitifs ancêtres, les blancs allophyles dont nous sommes les descendants.

Cependant les Allophyles n’étaient pas les premiers habitants de la localité. Elle avait été occupée, avant eux, dès le début de la période quaternaire, par les familles des époques Chelléenne et Moustérienne dont les armes et outils se composaient de pierres taillées par éclatement et non polies, soit à l’âge paléolithique.

[ à suivre ! ]


L'aventure du pressoir

Nous avons également retrouvé une ancienne plaquette racontant une aventure culloise plus récente puisqu'elle date de 1998.

 

Cette année-là, notre association décida qu'à l'occasion du 150ème anniversaire de la Saint-Vincent, la société d'entraide des vignerons, un pressoir soit installé sur l'aire de loisirs pour mettre en exergue la part que représente la vigne et le vin dans notre patrimoine local.

La mise sur pied de ce projet ambitieux mobilisa les habitants du village qui ne ménagèrent pas leur peine et assurèrent aussi un soutien financier à travers une souscription.

La plaquette rédigée par Bernard Veaux raconte cette aventure mais propose également un historique illustré de l'évolution des techniques permettant d'extraire le jus des raisins depuis l'antiquité.


Cette année, nous avons choisi comme thème "le vin".

Le coronavirus a quelque peu chamboulé notre programme de recherche, de collecte de témoignages, et de préparation mais nous allons tout de même développer ce sujet. Et, dans ce cadre, publier sur ce site le contenu de cette plaquette.
En prologue à la création d'une rubrique à part entière, voici d'abord le début de cette plaquette et des photos du début de la célébration du 150ème anniversaire de la "Saint-Vincent" qui commençait, comme le veut la tradition, par la messe célébrée à l'église du village.

La vigne et le vin, voilà une part de l'âme de notre village de Culles-les- Roches...

 

Une part seulement, puisque les premiers habitants de la grotte préhistorique n'avaient pas la chance de connaitre le jus de la treille, et qu'il a fallu attendre la période gallo-romaine pour déguster les premiers crus bourguignons...

Mais la vigne et le vin sont bel et bien une part importante de notre patrimoine et de notre histoire locale. La fin de l'Empire romain, ruiné par les invasions barbares, a correspondu à une période d'insécurité grandissante et de perturbation des échanges commerciaux. La culture de la vigne, culture de longue haleine, en a fait les frais, et elle a disparu dans beaucoup d'endroits. Pourtant, dès le Haut Moyen-Age (IX°S.), et notamment sous l'impulsion des évêques et des monastères demandeurs de vin pour célébrer les messes et bien accueillir leurs hôtes. Beaucoup de terroirs de notre région ont à nouveau accueilli la vigne. Malgré l'épisode de Henri IV et de ses « vins préférés », à Givry, la renommée et la qualité des vins de Bourgogne s'établit surtout à la fin du XVIIIème, grâce à quelques grands viticulteurs et négociants qui mirent au point des vinifications de qualité.

Le développement des transports - et tout particulièrement du chemin de fer - a permis une exportation de plus en plus grande vers les villes, même pour les vins de moyenne qualité. Le vignoble s'est ainsi développé jusqu'à la crise du phylloxéra, vers 1880. Au début du XX s., il a repris vigueur grâce au greffage sur les plants américains, résistants au phylloxéra, et beaucoup de terres, aujourd'hui occupées par des prés (Chevenats, Prénoyaux, Vermaillers, Reutelots...) et même des bois - étaient couvertes de vignes.

La gare de Culles expédiait du vin dans le Bassin minier de Montceau-les- Mines, mais aussi jusqu'à Paris. Grêle, maladie, variations du marché, médiocrité de la production ne permettaient pas de vivre grassement. Beaucoup de vignerons étaient de simples métayers. La création de la Cave Coopérative intercommunale de Buxy permit à un grand nombre de faire face aux difficultés économiques, par exemple en économisant les frais de cuvage, de tonneaux, et en se présentant plus en force devant les marchands.

Depuis la guerre de 39-45, peu à peu, la qualité s'est améliorée grâce au nouveau système des Appellations d'Origine Contrôlée. Les cépages de consommation courante se sont réduits comme peau de chagrin, laissant simplement la nostalgie des magnifiques paysages d'automne, où ils dessinaient de magnifiques taches rouge sombre parmi les autres parcelles dorées. En même temps, les surfaces se restreignaient et les vignes se cantonnaient aux coteaux classés et bien exposés.

 

 

Les vignerons étaient encore nombreux et constituaient la trame essentielle de la population jusque vers 1975. La mécanisation, l'exode rural ont bouleversé le visage traditionnel du village, mais la vigne reste bien présente et fait vivre plusieurs foyers. En plus des adhérents de la Cave Coopérative, deux vignerons se sont même mis à faire du vin - et du bon - sur place, avec mise en bouteilles.

Un projet pour le patrimoine local

Alors oui, la vigne fait bien partie de notre histoire locale, comme l'atteste le 150° anniversaire de la Société de Secours Mutuel des vignerons, «la Saint Vincent », que nous venons de fêter le 17 janvier 1998, en anticipant de 5 jours la fête officielle de Saint Vincent, traditionnellement fixée au 22 janvier.

Cette fête se profilant à l'horizon, notre petit Syndicat d'Initiative a suggéré que nous pourrions saisir l'occasion pour inscrire concrètement et durablement dans notre patrimoine un symbole du monde vigneron un pressoir.

Pensant que ce projet pouvait intéresser les autres associations de Culles-les- Roches, et bon nombre d'habitants, d'anciens et d'amis du village, nous avons organisé une rencontre et une souscription.

Le point de départ a été l'acquisition d'un pressoir carré de type Lartaud, à M. Gabriel Veaux. Ce pressoir avait été acheté en 1926 à St Gengoux, aux établissements Ducharne, par la famille Veaux-Rabut. Il n'était plus utilisé depuis 50 ans environ et présentait un bon état de conservation.

Diverses suggestions sont faites alors sur le lieu d'implantation possible : le « quai » des vendanges, au centre du village, le haut du Pré d'Etelle… On cherche comment protéger le pressoir (tous ceux qui sont en plein vent, dans la région, se dégradent rapidement). Faut-il une protection démontable, des bâches... ou même un système à roulettes pour mettre le pressoir à l'abri en hiver ? Après hésitations, conseils, et malgré un coût élevé, nous choisissons la formule d'un bel abri en charpente, à installer sur l'Aire de loisirs de la gare, face au vignoble, et sur le lieu de promenade de plus en plus fréquenté du pays (et qui le sera peut-être encore plus grâce à la « voie verte » aménagée entre Givry et Cluny en 1997).

 

Le chantier

 Les travaux ont commencé à l'automne 97 avec la participation de plusieurs bénévoles pour le défrichage et pour l'installation des fondations du pressoir et de l'abri.

[ à suivre ]



Attention trav'eau (bis !)

L'état des canalisations de distribution de l'eau potable est déplorable dans certains quartiers où les fuites se succèdent.

Même quand cela n'occasionne pas de dégâts directs (ex. caves inondées...), les pertes sont très importantes.
Cette situation nécessite le remplacement de nombreux tuyaux. La société qui va intervenir vient de déposer son matériel chemin de la Mouille et les travaux vont commencer sous peu.


Informations Mairie

> Réouverture de la mairie aux horaires habituels (13h30 à 17h30) le mercredi et le vendredi après-midi à partir du 3 juin 2020.
> Permanence des élus le mercredi après-midi.
> Possibilité de prendre rendez-vous avec un élu un autre jour de la semaine.
> Les délégations et commissions sont à l’affichage en Mairie.
> Des masques sont à nouveau disponibles en Mairie.

Secrétariat de Mairie
Téléphone : 03.85.44.06.55
Courriel : culles.les.roches@wanadoo.fr

5 femmes, 5 hommes : une équipe municipale sous le signe de la parité

La nouvelle équipe municipale s'est réunie pour la première fois hier lundi 25 mai au caveau municipal, à huis-clos en raison des conditions sanitaires.
La pandémie covid-19 avait déjà conduit au report de cette réunion qui était programmée à l'origine pour le 20 mars.


Ce premier conseil municipal a été l'occasion de désigner Michel DUCHAMP comme maire, pour un nouveau mandat.

A ses côtés, Robert PERNIN devient premier adjoint. Jean-Luc MONTEGUT, deuxième adjoint, représentera la commune à la ccScc.

Les autres conseillers, dont le attributions seront annoncées ultérieurement, sont : Jeanine DERAIN, Solene JABOEUF, Véronique JULIEN, Eliane MAILLE, Sophie BENOIST, Didier PRUDON et Claude BOILEAU.

Rappelons le décès d'un conseiller élu le 15 mars, Pascal GRESSARD, malheureusement décédé le 17 avril (voir article à cette date).


Remerciements

Cette photo de coquelicots a été prise par Ninette Gressard en revenant de l'hôpital le vendredi 15 mai, la veille du décès de Dominique. Elle et lui aimaient beaucoup les coquelicots.
Ce cliché accompagnait le mot de remerciements qu'elle souhaitait transmettre à tous ceux qui l'avaient soutenus.

 

"Une brassée de coquelicots pour remercier Culles-les-Roches, les gens d'ici, de là et d'ailleurs.

Vos très nombreux messages, votre présence sous différentes formes m'ont été d'un grand réconfort.

Grand merci et à bientôt  pour partager l'amitié comme Dominique savait et voulait la cultiver."

                                                                                                                                                                                      Ninette


Tombe la neige...

Le 14 mai dernier, nous avons évoqué la présence de nids de chenilles sur la chaume (voir plus bas sur cette page).
Depuis ils ont continué de se développer ce qui a donné l'occasion à Andrée de prendre cette étonnante photo d'un cerisier de Sainte-Lucie complètement recouvert par les fils des ces fameuses hyponomeutes.


Lundi 18 mai 2020

 DISPARITIONS

Dominique Gressard 

Notre ami Dominique Gressard est décédé à l'hôpital de Chalon à l'âge de 64 ans.
Malgré sa maladie et la grave déficience respiratoire qui l'handicapait depuis plusieurs années, Dominique était resté toujours engagé et impliqué dans toutes les animations associatives pour donner un coup de main, assurer le montage et les transports, sans ménager sa peine.

 

Dans ces circonstances, nos pensées vont vers sa famille et tout particulièrement vers Janine,  membre de notre Conseil d'administration, à laquelle nous exprimons notre soutien affectueux.  A ses côtés, elle a vaillamment  lutté contre la maladie de Dominique.

On t'embrasse, Ninette.

 

Denis Fouilloux

Nous avons également appris le décès d'un autre membre de Culles-Initiatives, Denis Fouilloux.
Cet ancien Cullois avait gardé de nombreux liens avec notre village. Il y était très attaché et avait conservé un joli verger vers la Mouille. Il renouvelait chaque année son adhésion et appréciait beaucoup de recevoir des nouvelles à travers notre bulletin annuel.
Toutes  nos condoléances à sa famille.


Samedi 16 mai 2020

 

2020, l'année du vin... euh !

Nous avions décidé de prendre en 2020 le thème du vin, notamment pour nos animations estivales.
Cela justifiait d'annoncer en couverture du bulletin n°73  "2020, l'année du vin". C'était évidemment avant la pandémie covid-19...
Pour l'instant, nous réfléchissons à ce qu'il sera possible de maintenir ou de prévoir compte-tenu des restrictions en vigueur pour les rassemblements. 

 

Mais, d'ores-et-déjà, rien n'empêche de collecter des informations et des photographies concernant le sujet.

C'est pourquoi nous faisons appel à vos souvenirs ! Merci de nous contacter si vous avez des photos, des témoignages, des anecdotes en rapport avec ce vaste sujet.

A propos de vin...
Quand on passe le long de l'aire de loisirs, la présence de ce pressoir parait naturelle. Nous sommes habitués à le voir.

Et pourtant il n'est pas arrivé là tout seul ! Ni sans efforts !
La semaine prochaine, nous vous raconterons l'aventure de cette installation qui constitua l'une des multiples initiatives de notre association.


Vendredi 15 mai 2020

"Parce qu'il faut bien que les les mots voltigent encore..."

Depuis plusieurs années, nous avons le plaisir d'accueillir Anne et Vezio Cossio pour des animations théâtrales et/ou contées.

Anne avait orchestré la balade contée et les comédiens amateurs du village, de plus en plus nombreux au fil des années, avaient apprécié  cette expérience au point d'envisager de mettre sur pied un "atelier" pour préparer le spectacle de cet été (voir l'édition d'octobre 2019 lien).

Une réunion de préparation devait être programmée en mars mais le coronavirus a mis à mal ce projet.

A cause de l'évolution des conditions sanitaires et des réglementations qui évoluent, il est encore un peu tôt pour annoncer quelque chose mais nous allons réfléchir très vite à ce que nous pourrions mettre sur pied raisonnablement en adaptant le programme que nous avions imaginé avant la pandémie.

Nous aurons certainement l'occasion de revoir Anne et Vezio à Culles cet été, mais vous en saurez plus prochainement !

 

Pendant le confinement, Anne a créé une chaine Youtube sur laquelle vous pourrez la retrouver : cliquer ici !

 

Et comme les temps s'annoncent difficiles pour les artistes, elle propose ses services, seule ou avec Vezio, pour des spectacles contés, chantés, poétiques... chez des particuliers ou dans des collectivités. N'hésitez pas à faire appel à eux ou/et à faire circuler l'information.

 

Elle raconte, elle dit, elle chante

 

Partout...

Des histoires tendres, drôles ou émouvantes...

Des poèmes qui racontent le monde depuis toute éternité

Des chansons, accompagnée par un musicien

Dans des jardins, dans des cours, sur des balcons... (dès qu'il ne pleut pas).

Pour tout le monde...

Les grands, les petits et... les très grands qui ont gardé leur âme de petits....

Le soir, l'après midi... même le matin...

En petits groupes...
(même tout petits en attendant de retrouver les grands groupes...)

Parce que cela fait du bien de retrouver un peu de rêve, de poésie
et de convivialité...

Il suffit de lui demander :

 

Contact : Anne Prost-Cossio -  anne.prostcossio@live.fr - 06 16 32 26 06

 


Jeudi 14 mai 2020 (article corrigé le 16 mai 2020)

Hyponomeute toi-même !

Nous avions averti du retour des pyrales du buis... Elles étaient discrètes dans les bosquets et il fallait avoir l’œil pour les voir.

Sur la chaume, on avait cru voir des nids présents en très grand nombre dans les arbres. Cela nous promettait pour la suite des fils en travers des sentiers puis des nuées de papillons. 

Mais la photo publiée n'était pas celle d'un "nid de pyrales" !  Merci à Pierre Karpoff d'avoir signalé l'erreur.

Pour autant c'est tout de même une engeance qui fait des dégâts.

Il s'agit d'un nid de chenilles Hyponomeute du faux-merisier (Yponomeuta mahalebella) qui s'attaquent aux cerisiers Sainte-Lucie . Elles sont présentes sur la chaume depuis plusieurs années.
Voir l'article Wkipédia sur ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yponomeuta_mahalebella